Récapitulatif
La législation et la réglementation évoluent régulièrement, ce qui a une incidence sur vous en tant qu'employeur ou sur vos collaborateurs. C’est pourquoi Acerta vous propose un récapitulatif des changements sociojuridiques prévus à partir du 1er juillet 2023.
L’ONSS accepte qu’un apprenti soit également étudiant jobiste chez le même employeur mais uniquement pendant les mois de juillet et d’août.
À partir du 1er juillet, les employeurs en Flandre pourront accueillir les personnes souffrant d’un handicap à l’emploi sur le lieu de travail grâce au travail adapté individuel. Si un employeur engage une personne qui peut présenter une telle attestation du VDAB, le gouvernement flamand offre à cet employeur une aide financière sous la forme d’une prime salariale et/ou d’une prime d’accompagnement pour compenser les frais supplémentaires liés à l’occupation. Les mesures existantes, comme la prime de soutien flamande (VOP), l’économie d’intégration sociale (SINE), l’économie de service locale et les divisions de travail adapté (MWA) du travail adapté collectif, disparaissent. Des mesures de transition sont toutefois prévues.
La question de savoir si un étudiant jobiste a droit à un salaire garanti quand il est malade dépend du statut d’ouvrier ou d’employé et de la durée de l’occupation.
Vous voulez engager un étudiant pendant les vacances mais vous doutez de ses compétences ? La période d’essai peut vous aider.
Les travailleurs reçoivent souvent, à côté du salaire Brut mensuel, d’autres avantages comme des chèques repas, des éco-cheques ou une prime de fin d’année mais également parfois des remboursements de frais. Les employeurs sont-ils tenus d’octroyer également ces avantages aux étudiants ?
Les travailleurs âgés, qui ont travaillé de nuit pendant 20 ans, peuvent demander un régime de travail adapté. Si l'employeur ne peut pas le prévoir, le contrat de travail prendra fin et l'employeur devra payer une indemnité complémentaire. Le montant de cette indemnité complémentaire est de 176,70 euros à compter du 1er juillet 2023.
La CCT n° 172 prévoit à nouveau un accès simplifié au chômage temporaire pour raisons économiques pour les employés jusqu’au 30 juin 2025. Les partenaires sociaux essaient ainsi d’éviter autant que possible des licenciements au cours de cette période également.
Cela signifie, entre autres, que ces employeurs doivent également s’affilier à un service externe pour la prévention et la protection au travail. En outre, le code du bien-être au travail comprend également des dispositions spécifiques qui tiennent compte de la situation particulière des travailleurs domestiques et du personnel de maison.