Le Centre culturel d’Uccle tire profit des outils d’Acerta pour la gestion de ses différents profils

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Le Centre culturel d’Uccle tire profit des outils d’Acerta pour la gestion de ses différents profils

Le Centre culturel d’Uccle (CCU) veut être un pôle de référence culturel au niveau de la commune, avec une réelle proximité vis-à-vis de son public. Cette volonté de relations étroites et transparentes se traduit aussi dans sa gestion des ressources humaines, et le CCU se félicite de s’être tourné vers Acerta et ses outils. Récit d’une transition réussie, perspectives et points d’amélioration compris.

Le Centre culturel d’Uccle emploie différents types de profils. Il y a tous les profils administratifs « classiques » (direction, GRH, gestion financière, communication…) mais aussi des profils bien plus spécifiques, avec des techniciens du spectacle (ingénieurs du son/des lumières, régisseurs…). Les équipes changent donc au fil des mois. Le centre a des CDI, mais certains profils viennent aussi parfois pour un mois ou deux. Le CCU compte également sur des étudiants, car lors d’une représentation, ce sont eux qui assurent l’accueil du public, le placement en salle et les activités HoReCa du soir, notamment. Les étudiants sont donc parfois aussi, voire plus nombreux, que les travailleurs fixes. À l’heure de ces lignes, le CCU emploie cinq techniciens (et un stagiaire), six profils administratifs, une concierge et quatorze étudiants. Lors des pics d’activités, le CCU se tourne vers des freelances du spectacle, via des agences de recrutement spécialisées pour ces profils : une pratique courante dans le secteur culturel, qui facilite les choses pour les prestations occasionnelles ou de courte durée.

Le choix d’Acerta : Transition réussie

En 2019, le Centre culturel d’Uccle s’est mis à la recherche d’un nouveau secrétariat social, et a décidé de collaborer avec Acerta. Capucine Carliez, coordinatrice financière et GRH du CCU, était au centre de cette transition et s’en souvient très bien : « Il faut savoir que le CCU est dans une commission paritaire particulière [classé dans le non marchand, et plus précisément dans la commission paritaire 329, pour le secteur socioculturel, ndlr], que la plupart des secrétariats sociaux ne connaissent pas bien. Après une expérience décevante, nous avons voulu changer de partenaire pour ce volet RH. C’est notre comptable externe qui nous a recommandé Acerta. Nous étions face à un dilemme, car nous devions trancher entre une plus grande structure comme Acerta, ou un partenaire de plus petite taille. Au final, nous nous sommes adressés à Acerta, et nous ne le regrettons pas du tout aujourd’hui. Il faut avouer que notre comptable a facilité la transition : cela fait longtemps qu’il travaille avec Acerta, et donc aussi avec leurs outils. »

La transition s’est faite en janvier 2020, mais le profil d’Acerta n’était pas tout à fait inconnu pour Capucine Carliez : « Avant même d’arriver chez Acerta, nous avions dû refaire notre règlement du travail. Je l’avais fait avec Acerta, et ça s’était très bien passé. Par la suite, quand il a fallu trouver un nouveau secrétariat social, et a fortiori avec la recommandation de notre comptable, c’est assez naturellement que je suis revenue chez Acerta. Une chose m’a quand même étonnée lors de la transition : il n’y a en fait aucune passation entre secrétariats. On est donc un peu reparti de zéro au niveau de l’historique, mais cela s’est tout de même bien passé,  j’obtiens toujours des réponses rapides à mes questions, ce qui reste l’essentiel. Et même en cas de question spécifique au secteur culturel, si nos contacts n’ont pas la réponse directement, Acerta dispose d’un service juridique pour trouver la solution. »

Acerta Connect : Un outil pratique, et des perspectives d’amélioration

Après deux ans d’une bonne collaboration, Capucine Carliez se montre satisfaite de la plateforme Acerta Connect, mais elle réalise aussi le potentiel de l’outil et souhaiterait en tirer encore davantage à l’avenir : « J’apprécie vraiment l’autonomie offerte par Acerta Connect : on sait faire beaucoup de choses par soi-même, comme créer un nouveau travailleur dans le système, par exemple. L’outil est très bien développé, même s’il faudrait selon moi une plus longue formation pour vraiment en retirer tous les bénéfices. J’ai suivi une formation au début, mais par la suite, d’autres questions se posent, et je dois quand même me tourner vers mon gestionnaire. Cependant, l’ensemble reste globalement très efficace : je peux également voir tous les documents en format numérique à l’avance, et plus généralement, Acerta Connect permet de numériser tous les documents pour les travailleurs. C’est beaucoup plus facile que les courriers papier que nous devions utiliser par le passé. De ce point de vue aussi, Acerta Connect est beaucoup plus pratique. »

J’apprécie vraiment l’autonomie offerte par Acerta Connect : on sait faire beaucoup de choses par soi-même.

Capucine Carliez, Coordinatrice financière et GRH du CCU

Une réelle facilité de gestion des différents profils du secteur culturel

Le CCU s’appuie sur des équipes composées de différents profils de collaborateurs, et Acerta Connect apporte une réelle plus-value pour la gestion de ces groupes. Capucine Carliez : « Une fonctionnalité très pratique d’Acerta Connect réside dans la possibilité de créer différents groupes de travailleurs. Pour nous, dans le secteur culturel, nous avons donc un groupe de techniciens, un groupe de profils administratifs, et un groupe d’étudiants, et cela permet de gérer chaque groupe à des moments différents. Et même avec cet aspect de groupe, il reste possible de demander un calcul de salaire spécifique, pour un travailleur. Un autre aspect appréciable de la plateforme est la simulation provisoire des paies, pour voir le résultat avant de lancer la version finale. Cela permet d’éviter de petits oublis : on peut faire autant de versions provisoires qu’on veut, et le paiement ne se fera qu’après l’envoi de la version définitive. C’est pratique, parce qu’ici aussi, on peut le faire soi-même, en autonomie, sans devoir dépendre de quelqu’un. »

 

Établissement caractéristique de la Région bruxelloise et bâtiment à l’architecture remarquable, le Centre culturel d’Uccle (CCU) est niché au bord du Parc de Wolvendael. Construit dans les années 50, il s’inscrit dans une continuité temporelle forte, et a été rénové de 1992 à 2007, de manière à offrir aux habitants de la commune une vie culturelle de qualité. La volonté du CCU est d’être un pôle de référence culturel au niveau de la commune, avec une action de proximité et des projets en lien avec le quartier et le territoire de la commune. Il veut dessiner une politique des publics qui conjugue attractivité, rayonnement, éducation artistique dès l’enfance et fabrique du lien social, tout en incarnant une forme de modernité innovante et plurielle.

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